vendredi 27 janvier 2017

Poème express n° 667

posted by Lucien Suel at 10:53

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

(il y a un truc avec les trois "Parrain" de Francis Coppola - il a largué le "Ford" j'ai cru comprendre - c'est qu'on n'y comprend pas grand chose) (sauf que le sang y coule à flots, mais ça, c'est le genre qui le veut) (un jour, c'est juré craché, je les regarderai tous les trois l'un puis à sa suite le deux et en suivant le trois afin de me rendre compte de l'incompréhension des mots intelligibles) j'aime beaucoup imaginer Marlon Brando avec des boules de coton dans les joues pour imiter quelque chose lors de son bout d'essai et aussi dans le ton, la voix, quelque chose - Marlon Brando (1924-2004) fait un bout d'essai à 46 ans devant un jeunot de quinze ans son cadet, Hollywood quand tu nous tiens... - image de Gordon Willis quand même et musique de Nino Rota (additonnelle : Carmine Copppola sauf le 3)... (le Parrain 1/2/3, Francis Coppola, 1972/74/90) (on peut aussi penser -pour le type qui pisse, là - à "Les Affranchis" (Martin Scorcese, 1990), le film où on entend "fuck" tous les trois mots...)

11:46  
Blogger Lucien Suel said...

Bonne idée de revoir les trois comme une série !
Brando les joues tombantes et puis le crâne du Colonel Kurtz... Brr.
Les Affranchis, je me souviens de Joe Pesci, glaçant.

16:23  

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